A L’EAU DE LA CLAIRE FONTAINE
(Sur l’air de Brassens) : Beatrice H.

Venue de sa brumeuse Alsace
Ses deux valises elle posa
Au clair pays de la fougasse
Du bon rouge et puis du muscat (de Lunel)

Elle logeait chez sa sœurette
Quand un beau jours l’idée lui vint
D’aller cueillir des pâquerettes
Dans le jardin de son voisin (chez Francis)

Il lui offrit un verre à boire
Du gingembre et du kurkuma
Elle lui raconta son histoire
En lui montrant ses mandalas (très fluos)

Cupidon passe à l’instant même
Sur le toit de la basse maison
C’est ainsi qu’il lui dit je t’aime
Et devint le fruit de sa passion (l’ananas)

Une sorte de vent soudaine Une sorte de vent soudaine
Entérina l’événement Souffla au sein de ce logis
Mais la belle était tellement mince
Qu’il l’emporta dans un grand champ Qu’elle fut emportée dans son lit (Ce beau lieu)
(de Beaulieu)

Le ciel était tout bleu tout rose
Et A le peindre se décida
Elle n’oubliait qu’une seule chose
Les nuages du Burkina (D…)

Les ondes se faisant terribles
Un peu de houle déferla
Mais l’amour ne lâche pas sa cible
Et mile traits leur décocha (quelle joie !)

On sait tous que l’anniversaire
Se compte en nombre de printemps
Elle seul vœu que l’on puisse faire
Qu’ils le fêtent éternellement (avec nous…)