Ciel – Pour Claude Clarbous
La nuit crachait le lait de son venin d'azur Le souffle de Babel agitait l'invisible La source des rayons vagissait son haleine Quand le verbe creusa les pores du silence…
La nuit crachait le lait de son venin d'azur Le souffle de Babel agitait l'invisible La source des rayons vagissait son haleine Quand le verbe creusa les pores du silence…
Au commencement, la création dévida sa longue phrase d'encre animée de tous les plausibles, avec l'imperceptible geste du silence pour unique accord, les primitifs frémissements de la matière encor absente…
Réconforté de recevoir enfin de tes nouvelles... Avant ton départ, tu semblais si confiant, débordant de projets, impatient de changer de visage. Ce dimanche-là, en devisant dans quelque marché, nous…